Basketball

Nick Suzuki et Cole Caufield sont au coeur de l’identité du Canadien et leur faux départ pèse lourd


Les gens avaient hâte de donner de l’amour.

Au moment d’être présenté à la foule, sous des acclamations senties et ô combien attendues, Jonathan Drouin a été à même de le constater.

Où qu’il soit en ce moment, espérons que Carey Price aussi a pu entendre et ressentir la vigueur avec laquelle les fans du Centre Bell, réunis en grand nombre pour la première fois en 585 jours, lui ont exprimé leur affection.

Nick Suzuki et Cole Caufield n’ont pas été en reste. Ils représentent l’avenir de l’équipe, ce sont eux qui fabriquent du rêve et, sans dire qu’ils sont « notre seul espoir », comme l’implorait la Princesse Leia à Obi-Wan Kenobi, Suzuki et Caufield demeurent le meilleur espoir du Canadien. Et les amateurs le leur ont fait sentir.

Leur visage a été placardé sur des publicités partout en ville dans les dernières semaines. C’est Suzuki, en compagnie de Tyler Toffoli, qui a représenté le Canadien au « car wash » de la LNH, le surnom donné au blitz médiatique auquel s’adonnent les vedettes du circuit auprès des diffuseurs de la ligue avant le début de la saison.

Oh, et il a signé un nouveau contrat pour la bagatelle de 63 millions $ la semaine dernière.

Ça fait beaucoup pour celui qui est unanimement perçu comme le premier centre du Canadien. Et ça fait beaucoup aussi pour Caufield, une recrue qui génère des murmures dans la foule dès qu’il touche la rondelle et à qui bon nombre d’observateurs prédisent le trophée Calder.





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